4 minutes avec Laurent Pluvy

Lolo débordant Arsène Ade-Mensah Durant sa convalescence, Laurent Pluvy a accordé une interview à TLM (chaîne de télévision locale lyonnaise). Voici ses propos en espérant son rapide retour sur les parquets prévu en novembre prochain.

La cigarette

«J'aime pas vraiment le tabac, donc c'est réglé, je ne fume pas du tout».

La mort

«Je pense jamais à la mort, je pense qu'elle viandra quand elle doit venir. C'est quelque chose qui ne me fait pas peur, qui ne m'angoisse pas du tout, c'est naturel, et si je dois mourir à 25 comme à 50-70 ans, ça ne me dérange pas du tout, j'y pense pas du tout».

La musique

«Beaucoup, j'écoute beaucoup de musique, tout ce qui est commercial en fait. J'achète peu de CD, mais j'écoute souvent la radio, tout le temps dans la voiture, et à la maison».

L'avenir

«Si possible rester dans le sport. J'ai fait des études de vente, donc s'il faut être représentant dans une marque sportive style Adidas qui est notre sponsor, ça me plarait bien. Donc avoir un pied dans le sport et pourquoi pas faire entraîneur ou de la vente, quelque chose comme ça».

Couleur préférée

«Le noir. J'aime bien m'habiller en noir».

Les amis

«Etant donné qu'on a une vie de groupe avec l'équipe, mes meilleurs amis sont ceux de l'équipe. Il y a en particulier Rémi Rippert, on se voit souvent en dehors et même dans le jeu. C'est vrai, mes amis sont surtout des sportifs, et si possible, on aime bien se retrouver ensemble après les matchs ou même les jours de vacances, les jours offs comme on dit. On aime bien faire des petites balades n'importe où, aller au ciné, se faire des bouffes».

Religion

«J'ai fait ma communion quand j'étais gamin, donc j'y crois, mais je ne suis pas vraiment pratiquant. Je vais rarement à la messe, et même j'ai du y aller une fois dans ma vie».

Les enfants

«J'en veux bien sûr, c'est vrai que cette année c'est la grosse mode dans l'équipe, ou presque toutes les femmes sont enceintes, donc sa donne des envies, surtout que maintenant j'ai 25 ans, ma copine aussi, donc on va pas tarder».